50 après les premiers rapports alertant sur la « finitude du monde », nos sociétés doivent se questionner sur des notions qui semblaient inébranlables et partagées par tous les individus tels que progrès, croissance ou développement. Le changement climatique analysé et illustré dans les rapports successifs du GIEC ainsi que l’épuisement des ressources obligent à de nouveaux questionnements à la fois collectifs et intimes sur les liens homme-nature ; La diminution durable des ressources hydriques est l’une des conséquences les plus visibles. L’obsolescence des dogmes productivistes-consuméristes mondialisés est annoncée. Dans ce contexte, l’éducation et la recherche ont un rôle capital pour aborder ce défi civilisationnel aussi angoissant que passionnant.