Les titres de nombreuses œuvres de Max Rouquette disent à l’évidence la place qu’y occupent les mythes fondateurs, que la source en soit la Bible ou la mythologie grecque. Dans cette abondance de références, les mythes de l’errance, bien que n’étant pas les seuls à avoir retenu l’attention de l’auteur, sont certainement ceux qui construisent un fil d’analyse de cette œuvre d’une profonde cohérence.